Le manoir se dressait, condamnant, au beau milieu des vestiges d’un parc à l’abandon. Entre les arbres tordus par le vent et les routes envahies par les ronces, une structure de verre et métallique résistait encore au saisons : une serre oubliée, énigmatique après un mur de végétation sauvage. Julien, https://andersonhnsuw.blogacep.com/39020058/les-empreintes-figées