Le manoir se dressait, condamnant, en plein milieu des vestiges d’un parc à l’abandon. Entre les arbres tordus par le vent et les sentiers envahies par les ronces, une composition de cristal et métallisé résistait encore au saisons : une serre oubliée, ésotérique en arrière un mur de végétation sauvage. https://andresmgyqh.ssnblog.com/32872594/la-journée-retenue