Le manoir se dressait, acculant, au beau milieu des vestiges d’un parc à l’abandon. Entre les arbres tordus par le vent et les sentiers envahies par les ronces, une constitution de verre et métallique résistait encore au années : une serre oubliée, occulte postérieur un mur de végétation sauvage. Julien, https://eduardopqnic.ampblogs.com/le-jardin-des-obscurités-statiques-70477209