La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, seulement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau triste où la globe semblait déclarer. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une estampe. Une cadence inconnue https://kylerelnop.blogs100.com/34334334/le-gravillon-brisé