La public de bal se transformait en un subterfuge de miroirs mouvants. Ludovico avançait mollement dans les internautes masqués, sentant le poids du futur museler sur ses épaules. Chaque vitrage qu’il croisait altérait son rayonnage, lui proposant un aperçu d’un destin nébuleux, d’un passé secret, ou d’une transposition de lui-même https://sergiogzpeu.ja-blog.com/33968682/les-portraits-de-la-destinee