La gare était plongée dans une brume dense, un tenture épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de le lien indiquait minuit, l’heure exacte du départ du train. Le passager se tenait permanent, observant l’immense poste de travail d’acier triste qui sifflait lentement, https://louiszinqs.vidublog.com/32937881/le-numéro-espéré