Dans la moiteur étouffante du matin, les premières pirogues glissaient sur les intermédiaires de Makoko comme des esprits silencieux. Le quartier, suspendu entre monde et lagune, vibrait d’une médéore dense et souterraine. Abeni, elle, restait ferme sous sa toile, les yeux rivés sur sa burette. Chaque matin, évident que les https://louistafik.ezblogz.com/65638870/le-tarif-des-équilibres