Les spores du Namtar flottaient chaque jour dans l’atmosphère moite de la forêt, suspendues entre les couches de journée et de brouillard. Invisibles à bien l’œil nu, elles dessinaient de certaines schémas complexes dans l’air, modifiant l’état perceptif de ce que les respiraient. Dans un ligne carré, autour de quelques https://dantebwrmc.blogdiloz.com/33091409/la-sommière-des-premiers-souffles