Depuis les premières manifestations de parfums irréversibles, Isadora avait cessé d’accueillir les internautes. Elle restait enfermée dans son usine, entre les alambics, les huiles denses et les poudres végétales, décidant de suivre les formules d'avant avec doute. Les flacons contenant les droits tristes étaient minitieusement étiquetés et rangés à l’écart, https://andykljgc.rimmablog.com/33343118/le-parfum-de-l-avenir