Les doigt glissent sur le clavier. Le regard oscille entre la fenêtre du message et le vide de l’écran. L’air est moutonnier, à souffrance stable. Une tension secrète dans la nuque. Rien d’urgent, mais une masse que le silence ne dissout pas. Le cœur bat librement, mais avec une présence https://angelozjqvy.nizarblog.com/36294056/voyance-par-courrier-électronique-une-réponse-que-je-n-attendais-aucunement